Catch all email, tout comprendre pour éviter les bounces

Dans vos campagnes B2B, vous êtes peut-être déjà tombé sur des catch all email… ces adresses qui acceptent tous les messages envoyés à un domaine, même quand l’adresse n’existe pas 🤯.
Utile pour éviter de perdre un prospect, mais redoutable pour votre délivrabilité : un catch-all peut faire grimper votre taux de bounce et fausser vos vérifications d’emails 📉.

Dans cet article, on va voir ensemble, simplement, à quoi servent vraiment les catch-all email, pourquoi certaines entreprises les utilisent encore, et comment les gérer intelligemment pour protéger vos performances. ✨

Qu’est-ce qu’une adresse email catch-all ?

Avant de rentrer dans les avantages, les risques ou les stratégies, commençons par clarifier ce qu’est réellement une catch all email. 👀

Un catch-all email est une boîte configurée pour recevoir tous les emails envoyés à un domaine, même lorsque l’adresse du destinataire n’existe pas 🙃.
En B2B, cela permet à une entreprise de ne jamais rater un message potentiel, même si l’expéditeur fait une erreur dans l’orthographe ou le format de l’adresse.

💡

Par exemple :
Vous écrivez à cecile.panzani@startup.com alors que la vraie adresse est c.panzani@startup.com, le catch-all récupère quand même le message ✉️.

Techniquement, le serveur est programmé pour dire :

“Peu importe l’adresse, j’accepte tout ce qui arrive à @domaine.com.”

C’est pratique… Mais cela empêche aussi de vérifier si l’adresse existe réellement, ce qui complique la vie des outils de vérification et peut vous exposer à davantage de bounces. 🫠

Pourquoi certaines entreprises utilisent les catch all email ?

Malgré les risques, beaucoup d’entreprises conservent un catch-all pour 👇🏻 :

  • Éviter de perdre un lead ou une demande importante.
  • Absorber les erreurs de saisie courantes.
  • Centraliser la gestion des emails entrants.
  • Maintenir une continuité de communication même en cas de départ d’un collaborateur.

Et du côté cold email ? Les entreprises qui utilisent un catch-all pour elles-mêmes ne pensent pas forcément aux conséquences que cela aura sur vos campagnes B2B 😅.

Avantages et risques d’un catch-all email

Avant de juger si un catch all email domain est une bonne ou mauvaise idée pour vos campagnes B2B, il faut comprendre ce qu’il apporte réellement… et ce qu’il peut mettre en danger. ⚠️

Les avantages des adresses catch-all

Une adresse catch-all peut avoir plusieurs bénéfices pour une entreprise, notamment en interne :

  • 🔎 Ne pas perdre d’emails importants : Même en cas d’erreur de saisie, l’entreprise reçoit quand même le message. Pratique pour ne rater aucun prospect ni demande urgente.
  • 📋 Simplifier la gestion des emails : Tout ce qui arrive à « @domaine.com » est capté et redirigé vers une boîte dédiée.
  • 🔄 Assurer la continuité : Lorsqu’un collaborateur quitte l’entreprise ou qu’une adresse est supprimée, aucun message n’est perdu.
  • 🫠 Filtrer les erreurs humaines : Faute de frappe, prénom mal orthographié, initiales approximatives… tout finit au même endroit.

C’est un filet de sécurité utile… Mais pas sans contreparties.

Les risques pour vos bounces, délivrabilité, réputation

C’est là que les choses se corsent pour la prospection B2B 👀. Même si un domaine catch-all accepte les emails, cela ne garantit pas qu’ils seront réellement délivrés ou lus. Les risques principaux sont :

  • 📈 Un taux de bounce plus élevé : Certaines boîtes catch-all acceptent l’email… puis le rejettent après coup. Votre serveur voit cela comme un bounce.
  • 🙃 Une réputation d’expéditeur fragilisée : Envoyer régulièrement à des adresses incertaines signale aux FAI (fournisseurs d’accès internet) que vos listes ne sont pas fiables.
  • 😅 Un engagement très faible : Beaucoup de catch-all sont des boîtes peu (ou jamais) consultées. Résultat, diminution du taux d’ouverture emailing, donc perte de confiance, donc plus de spam.
  • 🥲 Impossibilité de vérifier la validité réelle de l’adresse : Les outils de vérification ne peuvent pas confirmer l’existence d’un destinataire dans un domaine catch-all.
💡

Si vous faites du cold email, c’est un terrain glissant pour votre prospection.

Catch-all et cold email : quand les garder ou les exclure ?

Lorsque vous faites de la prospection, un catch-all email peut être 👇🏻 :

  • À conserver si votre taux de bounce général est très bas et que vous ciblez des entreprises fiables (ETI, grands comptes).
  • À exclure si votre domaine d’envoi est jeune, fragile ou si votre réputation email n’est pas encore solide.
  • À segmenter lorsque vous souhaitez tester l’engagement sur un lot isolé sans mettre en danger votre domaine principal.

Les catch-all ne sont pas forcément mauvais, mais ils demandent de la vigilance. 🚨

Ce que disent les chiffres sur le catch all email

Pour vous donner un repère concret, les données des outils de vérification montrent une différence nette entre les adresses classiques et les domaines configurés en catch-all. 👀

Sur une adresse nominative, donc non catch-all, le taux de bounce observé reste généralement très bas, moins de 5%. Cela signifie que la grande majorité de vos envois arrivera bien à destination, ce qui protège naturellement votre réputation d’expéditeur. 🙆🏻‍♀️

En revanche, lorsqu’un domaine est en catch-all, même les outils les plus avancés ne peuvent pas confirmer l’existence réelle du destinataire. Il est donc courant d’observer un taux de bounce qui grimpe jusqu’à 15%. Trois fois plus élevé, donc trois fois plus risqué pour votre délivrabilité.

Cela ne veut pas dire qu’il faut bannir les catch-all de vos campagnes, loin de là. Mais, cela vous oblige à les traiter avec un peu plus de méthode 🔍.

Témoignage sur X de Pauline Rante

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Comment repérer un domaine catch‑all ?

Identifier un catch all email address n’est pas toujours simple… et c’est précisément ce qui fait leur réputation mail 😅. Comme le serveur accepte tous les messages, les tests classiques de validation ne suffisent pas.

Comment savoir si un domaine est configuré en catch‑all ?

La manière la plus courante de détecter un domaine catch-all consiste à utiliser un service spécialisé de vérification d’emails. Des outils comme Dropcontact, CaptainVerify, ZeroBounce, NeverBounce, ou encore Netim réalisent des tests SMTP avancés pour déterminer si le serveur accepte systématiquement toutes les adresses.😎

💡

Ces outils envoient une requête au serveur et observent sa réponse. Si celui-ci dit “oui” à n’importe quelle adresse inventée, du style blabla@domaine.com, il y a de grandes chances que le domaine soit configuré en catch all.

Certains patterns techniques peuvent également mettre la puce à l’oreille, comme un domaine récent, un hébergement partagé, une configuration basique ou des outils internes de redirection peuvent indiquer une probabilité plus élevée d’être en catch all email. Cela ne remplace pas une vérification complète, mais cela vous aide à savoir quand redoubler de prudence 👀.

Enfin, un test manuel peut être réalisé en interne, mais il est rarement aussi fiable qu’un outil dédié. Vous risquez de rater des cas ou d’interpréter les réponses du serveur de manière incorrecte. Mieux vaut automatiser cette étape. 🤓

La checklist d’audit de votre base email

Avant d’envoyer une campagne de prospection, il est essentiel d’auditer votre base pour limiter les risques de bounce. Si vous avez fait un achat de fichier email, récupéré des emails via scraping ou hérité d’une base vieillissante… un audit catch-all est indispensable 🔧.

Voici l’approche la plus efficace pour auditer votre base email 👇🏻

  1. Passez toute votre base dans un outil de validation : C’est l’étape indispensable. L’objectif est d’isoler rapidement les adresses douteuses : catch all email, emails inconnus, adresses invalides… tout ce qui peut faire exploser votre taux de bounce 👀.
  2. Segmentez vos résultats pour y voir plus clair : Une fois la validation faite, classez vos emails en trois catégories distinctes.
    • Adresses validées : celles qui peuvent recevoir vos campagnes sans risque. ✅
    • Adresses catch-all : acceptées par le serveur, mais impossibles à vérifier. 🙆🏻‍♀️
    • Adresses non vérifiées ou invalides : à ne surtout pas utiliser. ❌
    Cette segmentation vous permet de savoir exactement où agir en priorité.
  3. Identifiez les sources à risque : Une base n’est jamais mauvaise par hasard. Les bounces proviennent souvent de :
    • Fichiers email achetés (souvent truffés de catch-all et d’adresses mortes).
    • Emails récupérés via scraping sans vérification.
    • Bases trop anciennes ou jamais nettoyées.
    Ces sources sont généralement les principales responsables d’un taux de bounce élevé 📉.
  4. Nettoyez ou mettez en quarantaine les segments douteux : Avant d’envoyer votre campagne, retirez les adresses invalides et placez les catch all email dans un segment séparé. Cela protège votre réputation d’expéditeur et évite que votre domaine se fasse “blacklister” par les FAI. 🧹. Vous pourrez ensuite tester ces segments à petite dose ou les traiter via d’autres canaux (LinkedIn, téléphone…).
Check List catch all email

Alternatives pour limiter les risques des catch all email

Même si les catch all email font partie du paysage B2B, vous pouvez réduire considérablement leur impact sur vos campagnes. L’objectif n’est pas forcément de les bannir, mais de mettre en place des pratiques qui protègent réellement votre délivrabilité. ✨

Utiliser un vérificateur d’emails multi-niveaux

La première bonne pratique consiste à utiliser un outil capable d’analyser les emails selon plusieurs couches : syntaxe, serveur, statut du domaine, comportement SMTP… Plus le niveau d’analyse est fin, plus vous obtenez une vision réaliste du risque associé à chaque adresse. 😇

➡️ Les solutions multiniveaux permettent de :

  • Confirmer rapidement les adresses 100 % valides.
  • Isoler les catch all email.
  • Détecter les emails potentiellement dangereux (spamtraps, domaines inactifs, patterns suspects).

Vous gagnez ainsi en précision et en confiance au moment de lancer une campagne 📧.

Mettre en place des règles de nettoyage continu

Une base email n’est jamais “propre une fois pour toutes”. Elle évolue, vieillit, s’altère… et doit être entretenue régulièrement. Mettre en place un nettoyage continu est donc essentiel pour limiter les risques.

Cela signifie 👇🏻:

  • Vérifier vos nouvelles adresses dès leur entrée dans le CRM.
  • Relancer des vérifications régulières des anciennes bases.
  • Surveiller les taux d’ouverture et de rebond pour repérer les anomalies.
  • Isoler automatiquement les domaines détectés comme catch-all ou instables.

C’est un petit effort au quotidien, mais un énorme gain de délivrabilité sur le long terme. 🥰

Comment Waalaxy aide à gérer les catch all email intelligemment ?

Les catch all email peuvent vite devenir un problème lors d’une campagne de prospection B2B 😅. Avec Waalaxy, ils ne sont plus un frein, mais une donnée à gérer intelligemment pour maximiser vos chances de contact sans mettre en danger votre délivrabilité. 😇

Récupérez plus d’emails valides

Plutôt que de s’appuyer sur une seule source, Waalaxy utilise un enrichissement en cascade. Si un service ne trouve pas d’email, un autre prend automatiquement le relais 👀.
Moins d’emails manquants, moins de catch-all… et des bases beaucoup plus propres dès le départ 😌.

💡

👉 Vous récupérez jusqu’à +60 % d’emails professionnels confirmés, comme expliqué dans notre ebook dédié à l’enrichissement de base de données 📘.

Évitez les bounces grâce à une vérification intelligente

Avant chaque envoi, Waalaxy analyse automatiquement vos emails avec son Email Finder. Vous savez immédiatement lesquels sont valides, lesquels sont catch-all et lesquels sont à risque 🤓.

Concrètement, cela vous permet de :

  • Réduire drastiquement les bounces.
  • Protéger la réputation de votre domaine.
  • Envoyer vos campagnes avec beaucoup plus de sérénité 📉.
Catch all email finder

Chaque email est utilisé au bon moment de votre campagne, de la bonne manière.

Ne perdez plus un prospect à cause d’un catch-all

Quand un email n’est pas fiable, Waalaxy ne vous bloque pas. L’outil déclenche automatiquement une séquence multicanale : messages LinkedIn, visites de profil, relances… 💬

Catch all email avec des séquences multicanal

👉 Vous restez visible, même sans email vérifié.
👉 Vous gardez le contact.
👉 Vous augmentez vos chances de réponse et de conversion.

Amélioration de la délivrabilité et conformité RGPD

En envoyant moins d’emails “risqués”, votre réputation d’expéditeur reste solide. Votre domaine chauffe moins, vos emails se placent mieux, et vos taux d’ouverture montent, vous évitez la spirale négative des catch-all mal gérés. 🌀
Le tout en respectant les bonnes pratiques RGPD, puisque Waalaxy se concentre exclusivement sur les données professionnelles avec un processus double opt-in.

Vous gagnez du temps, vous améliorez la qualité de vos leads, et vos campagnes deviennent plus performantes, même en présence de catch all email. 🥰

On se fait un récap sur les catch all email

Les catch all email acceptent tous les messages envoyés à un domaine, même si l’adresse n’existe pas 🤯. C’est utile pour ne perdre aucun prospect… mais risqué pour vos campagnes emailing, car cela augmente les bounces et empêche de vérifier vos emails. 📉

Les entreprises les utilisent pour centraliser, éviter les erreurs et garantir la continuité. De votre côté, en prospection, ils peuvent être gardés, exclus ou segmentés selon votre réputation d’expéditeur 👀.

Retenez ceci, une adresse classique, c’est <5 % de bounce. Une catch-all peut monter à 15 %. Donc vigilance.

Waalaxy simplifie tout avec la vérification automatique, l’enrichissement en cascade (+60 % d’emails confirmés) et prospection multicanale pour contourner les emails incertains. 🚀

Foire aux questions

Quelle est la différence entre catch all email, redirecteur et alias ?

Voici un tableau ultra simple pour ne plus les confondre : 👇

Type d’adresseFonctionAvantageRisque / Limite
Catch all emailReçoit tous les emails d’un domaine, même si l’adresse n’existe pas.Ne perd aucun message.Impossible de vérifier l’adresse et donc plus de bounces.
Redirecteur (forwarding)Redirige automatiquement les emails d’une adresse vers une autre.Pratique pour gérer plusieurs boîtes.L’adresse d’origine existe toujours.
AliasPlusieurs adresses différentes pointent vers une même boîte.Plus simple pour filtrer ou organiser.Ne capte pas les adresses inexistantes.

Comment savoir si un domaine est configuré en catch all email adress?

Voici comment le voir sur différents fournisseurs d’adresses mails. 👀

1. Outlook (Microsoft 365 / Exchange)

Outlook ne propose pas de catch-all natif, mais une entreprise peut le configurer via Exchange Admin Center. Pour vérifier :

  • Envoyez un email volontairement faux (exemple : test-inexistant@domaine.com),
  • Si aucun message d’erreur (« undeliverable ») n’est renvoyé, il y a de fortes chances que le domaine soit en catch-all.

Exchange peut aussi masquer certains bounces, d’où la prudence 👀.

2. Catch all email Gmail (Google Workspace)

Google Workspace permet officiellement la création de comptes catch-all. Pour vérifier :

  • Faites un envoi test vers une adresse inventée.
  • Si le message est accepté sans erreur, le domaine est probablement catch-all.
  • Si vous recevez ce message alors il n’y en a pas.
catch all email avec gmail

Vous pouvez aussi vérifier l’en-tête du message reçu, Gmail indique parfois le système de routage utilisé. Google est l’un des environnements où les catch all emails sont les plus fréquents ⚠️.

3. Apple Mail (iCloud / Apple Business)

Apple ne propose pas de catch-all simple sur iCloud, mais certaines entreprises utilisant Apple Business peuvent le simuler via des règles avancées. Pour vérifier, c’est comme avec les fournisseurs précédents :

  • Envoyez un email vers une adresse inexistante,
  • Si vous recevez un message de retour “invalid email”, le domaine n’est pas en catch-all,
  • Si vous n’avez aucun retour et que l’entreprise reçoit le mail dans une boîte générique type info@…, c’est que le catch-all est actif.
💡

L’astuce qui fonctionne sur tout les fournisseurs. Le test le plus fiable, quel que soit le fournisseur, reste d’envoyer un email volontairement incorrect et d’observer la réponse du serveur.

À présent vous savez tout sur les catch all email ! 🧚🏻‍♀️

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